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A l'antre du pingouin folklorique
12 avril 2006

Soirée au pré

Week end « nature » du 4 et 5 juin


Avertissement exceptionnel à un potentiel lecteur(trice) : le jour où j'ai écrit ça, devait yavoir un problème, parce ce récit et au moins 15 fois plus ennuyeux que tous les autres. Donc smple conseil : ne lisez pas, sauter ces lignes à s'endormir, regardez justes les photos et les phrases cultes qui se situent tout à la fin.

Le soir du 4 juin, mon père nous a emmenées aux pré. On n’y passait qu’une nuit mais il y avait tellement de sacs (avec les duvets et la bouffe) qu’on aurait pu nous croire parties pour une expédition en Alaska.

D’abord, il a fallu planter la tente. Je n’avais aucune connaissance en la matière, mais Alix la Guerrière, notre spécialiste ès tente, nous a montré comment faire. Ensuite, il a fallu aller chercher du bois (tout au fond du pré) pour le remonter devant la cabane, où nous avions décidé de faire le feu (non, nous ne sommes pas si couillonnes que ça à trimballer nos branches à travers le pré, arrêtez de le penser, zut à la fin, c’est seulement que devant la cabane ya pas d’herbe donc c’est un tout petit peu plus sécurisant pour la forêt alentours et nous accessoirement; fermons cette parenthèse)

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Alix, spécialiste ès tente devant la tente justement
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Maggie, pro des branchinettes


Après avoir fini, on s’est accordé un petit moment de détente bien mérité en montant un peu à cheval. Seules Maggy et moi savions monter à dada. Alix gardait quelques mauvais souvenirs quant à sa dernière expérience équestre, et Caro…ça ne faisait que la troisième fois qu’elle montait à cheval (et le seul cheval qu’elle ait jamais monté est Kelly) mais je n’étais vraiment pas inquiète pour elle : dès les premières chevauchées, elle avait très vite voulu galoper et même sauter des obstacles. Et ce soir là; le défi proposé n’était pas des moindres car je leur avais proposé ce premier contact avec Kelly…à cru !! Cela ne posait pas de problèmes à Marguerite, et Alix, après quelques tours tenue en main au pas et au trot, semblait avoir pris confiance.

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Débuts de Lilix sur Kelly

Quant à Caro, même si son assiette et sa tenue n’était pas des plus académiques (je te rassure Caro : les miennes non plus ! Mdr ), elle n’a pas fait mentir sa réputation de hussard : après quelques minutes passées sur le dos de Kelly, elle s’est essayée à plusieurs galops à travers le pré et l’absence de selle n’a pas semblé la gêner !

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Caro the best of the cavalerie

Quand ça a été mon tour, ça a été plus folklo : pour monter sur le dos de Kelly, j’ai tendu ma jambe à Caro en lui demandant de me donner une impulsion…Sauf que Caro n’a pas su doser : elle y est allée si fort que je suis passée de l’autre côté de la jument ! Après mon petit tour, j’ai rendu Kelly à Alix en lui disant d’essayer de la diriger toute seule. Ca a été assez laborieux, et la jument a soudain décidé de partir au galop vers la cabane…ce qui s’est soldé par une chute d’Alix, qui heureusement a pris la chose avec humour. Mais malheureusement, dans l‘histoire, je ne suis pas non plus exempte d’une perte de dignité… hum… cuisante… J’ai voulu en effet monter Poly, le poney sauvage, qui ce soir là n’avait pas, mais alors pas DU TOUT envie qu’on le monde. Et comme les habitués de la maison le savent peut être, Poly n’est pas mais alors pas DU TOUT du genre à souffrir en silence… Passons les détails atroces, non ? Quoique… Disons que l’animal a une méthode très efficace pour débarquer gentiment son cavalier : il fait deux ou trois figures artistiques style saut de mouton ou départ au galop brutal, et d’un seul coup, il baisse gentiment la nuque, histoire que le cavalier fasse un peu plus ample connaissance avec le sol du pré… Ouille le dos, ouille les fesses et ouille la dignité. Ce soir là, j’ai dû totaliser avec la bête sauvage environ quatre chutes (mes aïeux !!) alors que ça faisait un an que mes fesses n’avaient plus vu le sol d’aussi près. Comme quoi, méfiez vous des tits poneys à l’air inoffensifs, ce sont bien souvent eux qui remettent vos compétences de cavaliers en question !


Puis, quelques minutes après, Émilie (deuxième et seule autre cavalière des chevaux) a débarqué en nous disant qu’elle était venue quelques instants avec son copain pour essayer un harnais d’attelage à Poly (et oui, l’animal fougueux dans les brancards… et je certifie maintenant qu’il est passé expert dans le domaine). En tout cas, depuis le temps que j’entendais parler du copain en question, ça faisait un moment que j’attendais les présentations ! Il s’est avéré que Damien était un garçon très sympa… et plein d’humour ! Lui et Émilie ont rapidement harnaché Poly qui apparemment s’est tout de suite senti bien dans son nouveau rôle de « tireur ».

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Petit passage de Em et Damien sur nos terres, et débourrage rapide du poney à l'attelage


Puis, Em m’a dit qu’elle avait amené sa selle d’amazone et une de ses nombreuses jupes et qu’on pouvait essayer si on voulait. Kelly (que Émilie avait déjà habituée à cet étrange attirail) n’a pas bronché. Avec une selle d’amazone, premier abord, quelle classe, et puis si on y regarde de plus près, ça occasionne une méchante torsion du dos et… aïe. Après, Damien a demandé à essayer l’amazone. Je lui ai rétorqué que si il essayait, il devait mettre la jupe avec mais apparemment, il ne s’en est pas formalisé et ça ne l’a absurditolument pas empêché d’essayer. Maggy et Caro ont essayé également, les deux avec beaucoup de classe, et Caro sans le moindre problème d’adaptation (respect…).

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Mathilde, Damien , et Caro en amazone

Damien et Emilie sont ensuite repartis, nous laissant avec nos chevaux alors que le soir commençait à tomber. Pendant ce temps, Maggy s’est posée sur Kelly dans la ferme idée de lui faire partager nos idées sur la « zenitude du corps et de l’âme « , ce qui ne dérangeait pas du tout Kelly, du moment qu’on la laissait brouter son herbe. Ce qui en revanche a un peu plus dérangé Margue, c’est quand la jument s’est mise à pisser puis à prêter juste sous son nez (c’est le cas de le dire, cf photo).

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Maggie qui fait zazen sur Kelly

Après quoi, Marguerite (découragée) est venue nous donner un coup de main pour le feu. Il nous en a fait voir celui là aussi d’ailleurs, mais après dix minutes d’efforts (je sais, je sais, par temps sec, c’est la honte), un joli petit feu pétillait calmement. Alix et Maggy ont décidé de mettre quelques bout de bois en triangle autour, pour faire style notre feu était un « vrai » feu d’aventurières… Malheureusement, le foyer en question n’a duré que quelques secondes, à vrai dire juste le temps de prendre la photo (mais chut, faut pas le dire, on sait bien qu’on est quiches…d’ailleurs, à la fin de cette année de terminale, on a décidé de réitérer les soirées au pré, avec tout ceux qui veulent bien relever un peu le niveau, à bon entendeur…).

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The feu !! Dans toute l'authenticité de la chose !! (du moins quelques secondes)
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Devant notre feu

La cuisson des patates a été plus compliquée : comme on manquait de papier alu, il a fallu utiliser celui des tablettes de chocolat en désespoir de cause. Puis, comme on en manquait toujours, il à fallu se résoudre à cuire les patates une par une en réutilisant celui des patates précédentes (ce qui évidemment s’est révélé très chiant et complexe pour enlever le papier alu sans le déchirer). Pour le dessert, on a procédé de la même manière avec des pommes bourrées de chocolat et mises à cuire sous la braise. Enfin, on a clôt le repas avec des chamallows piqués au bout d’une branche et grillés sur la flamme. A cette occasion, Alix qui avait amené un paquet de meutofancifars (= fantômes farcis = bonbons) a décidé de les faire griller aussi. Ca a donné lieu à des scènes assez étranges : je revois Maggy en train de s’inventer des histoires avec les Menaçants ( je cite : « je vais te manger » « Nan, me pique pas au bout de cette branche, aïe aïe, ça brûle !! ») mais pour ne pas compromettre la réputation de cette élève de terminale mature, ne m’étendrai pas plus longuement sur le sujet.

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La tournée des chamallows
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Soigneusement grillés (cramés? nooooooon) sur le feu

Vers onze heures et demie, nous sommes ensuite tous partis (Maggy, Alix, Caro, Poly, Kelly, et moi) faire une balade nocturne. Arrivées dans le bois, on n’y voyait plus rien. Même moi qui connaît la forêt par cœur devais me contenter de deviner le chemin. Le seul moyen d’être sûres de ne pas dévier était de faire attention à ce que l’on avait sous les pieds : terre dure, c’était ok, sol plus mou, feuilles ou autres truc du genre, déviation dans le sous bois. Pour le reste… on faisait confiance aux chevaux ! A l’aller, j’ai senti mes amies une shtouille tendues et je l’étais d’ailleurs aussi : c’est vrai que l’obscurité et les bruits de la forêt demandent un ptit temps d’adaptation et bon bé c’est pas pour dire qu’on avait la trouille, mais disons plutôt que l’ambiance n’était pas des plus décontractées. Mais je savais que la suite allait leur plaire… Arrivées au Grand Pré, c’était magique : comme nous étions sortis du couvert des arbres, les étoiles brillaient, et grâce à leur lumière, on pouvait deviner l’herbe haute du pré qui s’étendait devant nous. Nous étions toujours à cru, et j’ai proposé que nous fassions chacune un aller et retour au galop. Je suis passée en premier. Pas de mots…Un galop sous les étoiles (et non pas une chevauchée sous les étoiles pour ceux qui auraient mal entendu, n’est ce pas ?? …Quoique…), c’est quelque chose à vivre. On aurait dit qu’il n’y avait plus que le ciel et moi… Marguerite est passée après, puis Caro. Ce qui a été marrant avec Caro, c’est qu’elle est partie au galop, puis quand on l’a entendue revenir quelques minutes après, on a d’un coup entendu un grand « shlofff ». C’était Caro qui venait de se ramasser alors qu’elle était à peine à dix mètres de nous !! Après, Alix a fait un tour au pas, et on est rentrées. Sur le chemin, quelques chansons, en gaélique, en anglais, airs de colo ou de camps Mej, que nous avons toutes reprises en cœur. L’ambiance était beaucoup plus détendue, on s’habituait à la forêt.

Quand on est rentrées, on est allées se poser devant le feu. L’heure tardive et le calme incitent toujours aux confidence, et on a pas mal parlé de nous… Puis, on est toutes allées se coucher dans la tente. Et là, problème: Caro avait décidé qu’on mettrait les duvets dans un certain sens et tout était bien installé. Le ptit souci, c’est que le terrain était en pente, et que Caro, au lieu d’installer nos duvets de manière à ce que nos têtes soient en haut de la pente et nos pieds en bas, les avait installés d’une autre manière, de sorte que j’étais en haut de la pente et elle en bas (Alix et Maggy coincées entre les deux). Et ce qui devait arriver à la suite de cette couillonnerie arriva : le matin, quand je me suis réveillée (ou plutôt fais réveiller par ce sacrénondidju de coq qui n’arrêtait pas de chanter), j’ai vu que Maggy avait total glissé sur Caro et Alix s’était apparemment résignée à aller dormir ailleurs, recroquevillée dans un tout petit coin de la tente. Trop drôle. Et Marguerite, qui ne se doutait de rien, continuait à s’étaler de tout son long. Comme le coq ne se résignait pas à s’arrêter de chanter, nous nous sommes résignées à nous lever ( c’était que huit heures ! Et on s’était couchées à deux heures du mat !!), et sommes allées pour nous consoler nous poser dans un coin du pré avec galeux et chocolat et au citron en guise de ptit déj.

La suite du programme était : à cheval ! Même Poly (qui était revenu à de meilleurs sentiments que la veille) était monté. Contrairement à la balade nocturne de la nuit précédente, nous n’avons pas fait demi tour et nous avons de poursuivre notre balade jusqu’à « chez l’éleveur » (le seul et unique éleveur de chevaux à des kilomètres à la ronde) pour voir l’Étalon, le beau, le seul, le magnifique (je parle d’un cheval, là) qui fut l’été précédent l’amant de Kelly (malheureusement sans résultat). Quand nous sommes arrivées, l’Étalon, égal à lui même, s’est mis à caracoler et à faire sa star. Trop magnifique ! Malheureusement, ce beau seigneur a quelque chose qui le dévalorise complètement… En effet, il s’appelle… Lyon ! (beuarkkk) Après encore quelques galops effrénés, nous avons pris le chemin du retour. A la fin de la balade, tout le monde( et en particulier Alix) avait succombé au charme de Poly.

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Lilix sur son fier destrier
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Caro et Alix dans le torrent impétueux de l'Yseron
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Mathilde sur grand cheval...
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...et Mathilde sur petit cheval
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Maggie dans les hautes herbes
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Mathilde lachée dans la nature
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Sur le chemin du retour : Maggie telle la vierge (sic) allant à Bethléem sur son ptit bourricot
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Au retour comme à l'aller, Lilix sur le poney sauvage


Arrivées au pré, nous avons déjeuné, mais après, personne n’avait le courage de repartir. Nous nous sentions complètement shoutées et nous avons décidé de faire la sieste dans le pré. Pour mieux bronzer, nous nous sommes pour ainsi dire « exposées » (non, nous ne sommes pas indécentes). Ainsi, le week end qui tirait à sa fin s’est achevé.

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Syndrome de nasitude (= être nase) totale, donc sieste
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Le tout en soutif ou haut de maillot de bain

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Le dernier chamallow de la journée

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Dernier tour à cheval avant de partir (sans selle ni filet, on avait la flemme, et Kelly a eu un super dressage adéquat ;) )
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Les deux spectatrices regardant les deux cavalières émérites (hum?) faire du saut d'obstacle (Caro blasante, Lilix blasée)
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"Maman, tu peux venir nous chercher?" de Maggie à cheval toujours...

Si vous avez réussi à lire jusque là sans émettre un seul ronflement, congratulations. Je suppose que vous pouvez à juste titre vous demander : mais pourquoi diantre ai-je rédigé le récit de nos aventures palpitantes du week end dans le plus pur style d’une copie de français? (quoique miss Gérard Klein renierait peu être certains « dérapages ») Pourquoi ai-je écrit ça de manière désuète et sans la moindre (ou presque) touche d’humour? Ben tout simplement parce que je considère que les photos ainsi que « les phrases cultes du week end » ci dessous suffisent à nous ridiculiser à vie. Donc soyez indulgents envers une pov fille qu’a essayé (sans résultats, je le reconnais, c’est nul, c’que j’ai écrit) de relever un peu la barre…

Et pour rigoler, contentez vous des photos et des phrases cultes qui en disent long sur le week end…

Les Phrases cultes du Week End

Attention, avertissement au lecteur potentiel qui serait parvenu jusque là sans s’endormir :

. Pour monter à cheval:
« Attends, je vais te donner une impulsion ! » (Caro)

. A propos des herbes allergisantes:
« - 3 petits points bien alignés, j’ai retrouvé ma graminée (Alix)
  - C’était de la poésie ? (Mathilde)
  -Euh…non » (Alix)

. Quand Marguerite soulève une grosse branche pour le feu :
« -Euahhhh !!! (Maggie)
  -Ah, c’est le cri de la Marguerite sauvage » (Alix)

. Emilie et Damien arrivent :
« Allez, viens Poly ! Je sais, j’ai pas de carotte et je sais pas imiter le bruit du sac plastique, mais viens quand même ! » (Damien)

.Ensuite, au dîner (grand moment épique) :
«-
Prenez, et mangez en tous, car ceci est mon corps (Mathilde distribuant les patates).
On dit les grâces ?
 
- Pif, paf, pouf, merci pour la bonne bouffe ! » (les 3 autres)

. A un moment, plus assez de papier alu pour les patates. Fallait donc l’économiser, et cuire les patates l’une après l’autre en reprenant à chaque fois le papier de la précédente :
« Tu fais attention avec le papier alu, tu fais comme avec un œuf de Pâques dont tu voudrais garder l’emballage » (Alix à Maggie)

. Au dessert, avec les chamallows et les bonbons :
« Elle est passée où, ma branche? » (Maggie)
« Les Meutofancifars, le retour » (Maggie)

. Pour faire cuire son chamallow :
«  1,2,3 d’un côté, 1,2,3 de l’autre, ya une flamme bleue, ça veut dire qu’il est cuit » (Maggie)

. Pendant la balade nocturne, chacun a son petit coup de flip. Quleques chansons pour détendre l’atmosphère…. :
« -On se raconte des histoires qui font peur? (Marguerite)
  -Non, je préfère que Mathilde continue à chanter… » (Alix)

. Le lendemain matin (TROP tôt) :
« Ya le coq qui sonne ! » (Alix)

. A cheval sur Poly :
« Hue, Cannabisme ! » Alix)

. Après la balade matinale, on va doucher Kelly. Le sol devient très boueux et glissant :
«Alors là, ça loupe jamais : à chaque fois que je douche ma jument, ya de la boue et je m’étale ! »  (Mathilde)
Évidemment (alors que je faisais pourtant super attention), deux minutes plus tard… «  «SPLATSHH !! » (bruit de mon popotin s’étalant comme promis sans grâce dans la boue)

. Caro et les insectes :
« La coccinelle, elle est jaune et noire, elle est passée du côté obscur de la force » (Caro)

. Au moment de la bronzette :
« -On s’fout à poil? (Marguerite)
  -T’as fumé quoi, Germaine ? » (Alix)

. Au cours de la sieste/ bronzette :
« Vous croyez que si je m’allonge et que je me mets un chamallow sur le ventre, il va finir par griller? » (Marguerite)
Quelques minutes plus tard…
« Vous vous rendez compte que je suis en soutif dans un pré avec des bonbons sur le ventre ? » (Maggie)

. A la fin de l’aprem, je commence à noter les phrases cultes sur une feuille. Souvenir de certaines, j’explose de rire :
« - Exprime toi, extériorise, parce que là, t’as pas l’air très intelligente (Alix à Mathilde)
  - Ca y est, elle est partie pour l’après midi, elle rigole toute seule, et en plus c’est contagieux alors qu’on sait même pas pourquoi elle rigole (Alix)
  -Moi non plus je sais pas »  (Mathilde)

. Une dernière :
« Pourquoi dans le mot « culte » ya « cul »? » (Maggie)

Bilan du week end, c’est Marguerite qui de très loin a dit le plus de conneries… Qui ça étonne ??

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